
TOP 50 des meilleurs bars en Europe
50 Best, l’organisation à l’origine du classement The World’s 50 Best Bars, lance un nouveau classement et un programme de récompenses en Europe pour la première (...)

Publié le par Vero à 0 h 0
La mutuelle d’épargne GARANCE propose des offres de bienvenue exceptionnelles pour les nouvelles souscriptions en assurance vie sur Garance Epargne (jusqu’à 2.500€ offerts !), ou en PER via le PER Sérénité ou le plébiscité PER Vivacité (jusqu’à 750€ offerts). Les primes en euros sont soumises à conditions de versements en montant (cumulables sur toute la période des offres), sans imposition de répartition supplémentaire sur des unités de compte. Offres applicables jusqu’au 31 décembre 2025.
Dans un arrêt récent, la Cour de cassation a considéré qu’un arrangement avec un bénévole cachait en réalité un contrat de travail. Mais pour ce faire, plusieurs conditions doivent être réunies.
Lorsqu’une association détermine unilatéralement les missions et les horaires d’un bénévole et que celui-ci est rémunéré en nature, la relation de bénévolat peut être requalifiée en contrat de travail. C’est ce que vient de rappeler la Cour de cassation dans un arrêt du 20 décembre 2017.
En l’espèce, une association exploitant un aéroclub avait conclu avec un de ses membres une convention par laquelle il acceptait d’assurer bénévolement l’accueil de l’aéroclub. Cette convention précisait les horaires et jours de permanence de l’accueil, les périodes de disponibilité de l’intéressé en dehors de ces jours ainsi que certains jours fériés et la durée des congés. Elle détaillait également les tâches à accomplir (répondre au téléphone, recevoir les visiteurs, faire le plein des avions, tenir le bar…) et mentionnait enfin qu’en contrepartie de toutes ces tâches, l’intéressé bénéficiait d’un logement gratuit.
L’association ayant finalement résilié la convention, le bénévole avait demandé sa requalification en contrat de travail. La cour d’appel avait rejeté sa demande, estimant qu’il s’agissait non de salariat mais de bénévolat.
La Cour de cassation a cassé cet arrêt, considérant qu’il existait bien un lien de subordination, notant que les missions et leurs horaires étaient fixés unilatéralement par l’association et que le bénévole ne pouvait s’absenter pendant les horaires de présence sans y avoir été préalablement et expressément autorisé. Enfin, il bénéficiait par ailleurs d’une rémunération en nature (son hébergement dans un logement mis à disposition). L’existence d’un contrat de travail était donc avérée.
Dans sa décision, la Cour de cassation a indiqué qu’il ne suffisait pas qu’une convention mentionne que son exécution s’inscrit dans le cadre du bénévolat, pour qu’il s’agisse effectivement de bénévolat. La Haute juridiction a profité de cet arrêt pour rappeler que l’existence d’un contrat de travail ne dépend ni de la volonté exprimée par les parties, ni de la dénomination qu’elles entendent donner à leur convention. Mais qu’elle dépend exclusivement des conditions de fait dans lesquelles s’exerce l’activité en cause.
© Anne Le Mouëllic – Uni-éditions – mars 2018

50 Best, l’organisation à l’origine du classement The World’s 50 Best Bars, lance un nouveau classement et un programme de récompenses en Europe pour la première (...)

Le volume des transactions du Cyber Monday fait un bond de 24 %, les paniers plus petits et les achats effectués plus tard dans la soirée étant dominants.

GAC a officiellement lancé son SUV électrique, l’AION V, en Grèce. Après la Finlande, la Pologne et le Portugal, la Grèce est le quatrième marché européen à accueillir les véhicules (...)