CINEVENTURE 3
Ouvert à la souscription pour la campagne SOFICA 2016. Proposée par Cinéventure, cette SOFICA permet une réduction d’impôt de 36% sur le montant investi au titre de l’IR 2016.
mercredi 12 octobre 2016, par Denis Lapalus
L’expérience des fondateurs est unique dans l’industrie cinématographique française : Jean Labadie a produit et distribué plus de 600 films dont près de 150 ont été présentés au festival de Cannes.
Une sélection audacieuse et équilibrée qui vise à favoriser des films créatifs et à fort potentiel (40% des investissements), parallèlement à des investissements plus défensifs (60% des investissements) non productifs de rendement.
Le comité d’investissement qui assistera la SOFICA est composé de 8 professionnels de la production, de la distribution et des ventes internationales, représentant des sociétés incontournables du secteur comme Wild Bunch, Diaphana, Films Distribution, Les Films du Worso, ou encore Universcine.
La stratégie d’investissement :
- 40% de productions de films français et européens (permettant une bonne diversification du risque)
- 40% d’investissements adossés (engagement de rachat à prix fixe par les producteurs)
- 20% de développement de projets d’auteurs (soutenir les travaux d’écriture et de préparation avant que le film trouve son financement)
Sofica 2025 et réduction d'impôt 2026
Cet investissement est réservé aux investisseurs avertis. La réduction d'impôt liée à l'investissement dans une SOFICA ne doit pas faire oublier qu'il s'agit avant tout d'un placement à risque de perte de capital. Ce dernier est bloqué durant une longue période (de 5 ou 6 ans selon les Sofica à 10 ans). La réduction d'impôt n'est applicable qu'une seule fois, l'année de versement des fonds. Cette réduction d’impôt n’ouvre pas droit à l'avance de 60% qui sera versée par l'État sur certains avantages fiscaux, en janvier 2026.Réduction d’impôt
| Foyer fiscal | Plafond de versement | Taux de réduction d'impôt | Réduction maximale d'impôt |
|---|---|---|---|
| Foyer fiscal global | 18 000,00 € | 48,00 % | 8 640,00 € |
| Les réductions d'impôt SOFICA sont soumises au plafonnement des niches fiscales, mais sous un plafond spécifique, au-delà des 10.000€. Le plafond de réduction des impôts, SOFICA incluse est de 18.000€. La réduction d'impôt à hauteur de 48% du montant souscrit au capital des SOFICA est soumise à condition d'engagement de réaliser au moins 10% de leurs investissements dans le capital de sociétés de production (réduction de 30% d'impôt dans la négative). La réduction est accordée dans la double limite d'un investissement maximum de 18 000 € par foyer fiscal et de 25% du revenu net global, soit une réduction maximum de 8 640 €. Le contribuable doit conserver les titres correspondants pendant 5 ans minimum. | |||
AVERTISSEMENT SUR LES SOFICA
La réduction d’impôt accordée pour l’investissement dans une SOFICA ne doit pas faire oublier qu’il s’agit avant tout d’un placement à risque de perte de capital. Lisez avec attention les recommandations AMF dans le prospectus la la SOFICA avant de souscrire.
- L’investissement en actions de SOFICA est par nature à risque de perte de capital,
- Aucune liquidité de vos avoirs en actions de SOFICA avant le terme (minimum 5 ans / maximum 10 ans) n’est assurée, les capitaux investis sont bloqués,
- Les espoirs de plus-values des SOFICA, hors avantages fiscaux, sont effectivement extrêmement réduits,
- Les SOFICA doivent être considérées comme des produits de diversification. Tous les professionnels s’accordent à dire qu’elles ne doivent pas dépasser 5 à 10% d’un patrimoine mobilier,
- Ajustez votre souscription à la réduction d’impôt que vous souhaitez obtenir, il n’est pas possible de bénéficier d’un crédit d’impôt reportable sur les années suivantes.
L’investisseur, personne physique domiciliée en France, doit s’assurer que ce produit correspond à sa situation fiscale et patrimoniale. L’investissement dans une SOFICA ne bénéficie d’aucune garantie ou protection du capital investi. La réduction d’impôts associée à la souscription d’une SOFICA est proposée en contrepartie d’une durée minimum de détention (cinq ans minimum, dix ans maximum) et d’un risque de perte en capital. La rentabilité n’est pas garantie. Les possibilités de cession des actions sont très limitées. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Chaque investisseur doit tenir compte de sa situation personnelle et ne pas avoir la fiscalité pour unique motivation d’une souscription.