
La Banque de France voit l’année 2025 en rose : salaires, croissance, chômage, inflation
Vague de positivisme auprès de la Banque de France : un scénario encourageant pour 2025.

Les entreprises françaises prévoient une hausse médiane des budgets d’augmentations salariales de 3,5 % pour l’année 2025.

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L’enquête Salary Budget Planning - Édition janvier 2025, menée par WTW, leader du courtage et du conseil, révèle que les entreprises françaises prévoient une hausse médiane des budgets d’augmentations salariales de 3,5 % pour l’année 2025. Bien que légèrement inférieurs aux augmentations salariales réelles médianes de 2024 (3,8 %), cette prévision reflète les tendances actuelles des politiques de rémunération dans un contexte économique exigeant.
L’augmentation médiane des salaires en 2024 s’est établie à 3,8 %, en retrait par rapport à 2023 (4,3 %). Toutefois, elle dépasse significativement l’inflation prévisionnelle de 2024 (2 %) et reste supérieure à l’augmentation médiane des salaires observée entre 2010 et 2020 (2,5% en moyenne), témoignant des efforts des entreprises pour rester compétitives dans un marché de l’emploi toujours en tension et pour maintenir le pouvoir d’achat des salariés. Près de la moitié des entreprises (47 %) affirment que leurs budgets d’augmentation ont été revus à la baisse par rapport à l’année précédente, en raison de l’évolution du contexte économique et notamment de l’inflation prévue en 2024 en baisse par rapport à 2023 (40 %), de préoccupations liées à la gestion des coûts dans un contexte économique exigeant (36 %) et d’une récession anticipée ou de résultats financiers plus modestes que prévu (33 %).
Les prévisions pour 2025 confirment une nouvelle contraction des budgets d’augmentations salariales, avec une augmentation médiane attendue de 3,5 % en France, plaçant le pays dans la fourchette basse des prévisions au sein des principales économies mondiales. En comparaison, le Canada (3,6 %), l’Allemagne et les États-Unis (3,7 %) affichent des perspectives légèrement supérieures, tandis que le Brésil (5,9 %) et la Chine (4,6 %) se distinguent par des prévisions nettement plus élevées. Ce ralentissement des augmentations salariales est une tendance globale, touchant la majorité des pays à l’exception notable du Brésil.
Au-delà de l’augmentation médiane prévisionnelle de 3,5 %, la réalité de ces prévisions varie significativement selon plusieurs facteurs : seule une entreprise sur 4 prévoit un budget d’augmentations salariales 2025 supérieur à 3,9%, tandis qu’une entreprise sur 4 prévoit un budget d’augmentations salariales 2025 inférieur à 3%.
Malgré les tensions économiques, les entreprises s’investissent dans des initiatives visant à attirer et fidéliser les talents et leur permettre de rester compétitives sur un marché de l’emploi toujours en tension. En 2024, 37 % des entreprises ont rencontré des difficultés dans ce domaine, un chiffre en baisse par rapport à 2022 (-7 points) et 2023 (-5 points). Bien qu’en baisse en 2024 par rapport aux années précédentes, cela souligne néanmoins un marché de l’emploi toujours en tension avec notamment près de quatre entreprises sur dix qui affirment rencontrer de réelles difficultés à attirer et retenir les talents pour répondre aux besoins de l’activité à court, à moyen et à long terme.
Face aux défis croissants liés à la gestion des talents, les entreprises redoublent d’efforts et adoptent des mesures stratégiques pour rester compétitives. Parmi les priorités : l’amélioration de l’expérience salariés (80 %), le renforcement des initiatives en matière de diversité, d’équité et d’inclusion, notamment à la veille de la transposition de la Directive Européenne sur la transparence des rémunérations, en juin 2026 au plus tard, et qui viendrait renforcer les obligations des entreprises en termes d’équité salariale et professionnelle (73 %), l’élargissement et la clarification des opportunités de formation et de développement des compétences (66 %) et l’adoption accrue de pratiques de travail flexibles dont notamment le télétravail et son accompagnement pour les salariés et pour les managers (55 %). En moyenne, les entreprises ont déjà mis en œuvre deux initiatives supplémentaires par rapport à l’année dernière et prévoient d’en introduire une de plus pour répondre aux exigences d’un marché de l’emploi en constante évolution.
En 2024, 78 % des entreprises ont augmenté leurs budgets salariaux, contre 73 % l’année précédente, mais la hausse moyenne s’établit à +4,3 %, après +7,1 % en 2023 et +6,4 % en 2022. Face à la concurrence sur le marché de l’emploi et aux pressions inflationnistes, les entreprises adaptent leurs politiques de rémunération : 39 % ont procédé à une révision globale des salaires, tandis que 38 % recrutent désormais à des niveaux supérieurs dans leurs grilles salariales pour attirer les meilleurs talents.
« Les budgets médians d’augmentations salariales pour 2025, attendus au-dessus de l’inflation observée en 2024 et prévisionnelle pour 2025, traduisent la volonté des entreprises de maintenir leur compétitivité sur un marché de l’emploi sous tension, marqué par un faible taux de chômage. Dans ce contexte, les entreprises s’efforcent d’optimiser la dynamique salariale pour répondre aux défis d’attraction et de fidélisation des talents. Cependant, la stabilisation de l’inflation autour de 2 % et les difficultés rencontrées par certains secteurs ces derniers mois expliquent la légère baisse des budgets prévisionnels observée pour cette année », analyse Khalil Ait-Mouloud, Directeur de l’Activité Enquêtes de rémunération chez WTW en France.
L’enquête « Salary Budget Planning » - Edition Janvier 2025 de WTW a été menée en octobre 2024. Plus de 1 000 entreprises en France, couvrant une large gamme de secteurs et des groupes français ainsi que des filiales de groupes étrangers opérant en France, y ont répondu. Cette étude vise à fournir des informations précises et à jour sur les tendances actuelles et sur les prévisions futures en matière de rémunérations pour aider les entreprises à prendre des décisions éclairées.
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Vague de positivisme auprès de la Banque de France : un scénario encourageant pour 2025.

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