
Vols Air France : cette fois-ci, ce sont vos données personnelles qui se sont envolées !
NOUVEAUTÉ ! Après Bouygues Telecom, Air France... Les grandes entreprises semblent désarmées face aux risques cyber.
Fil des forums des épargnants de FranceTransactions.com.
7 août 14:58, par reui
6 août 20:51, par jemilune
7 août 01:01, par Eurosaver
6 août 12:16, par toto
6 août 14:18, par Denis Lapalus
2 août 20:59, par Claudio
4 août 08:51, par Denis Lapalus
1er août 14:36, par Doule
Je dois effectuer un virement via une banque intermédiaire pour payer les frais d’université de ma fille aux USA.
J’ai des instructions de transfert avec :
le Swift Code, l’IBAN et le N° de compte de la banque intermédiaire.
le N° de compte (N° de compte identique au précédent) et le Routing de la banque destinataire
le N° de compte de l’Université
Ma banque n’est pas en mesure de faire le virement avec toutes ces informations. Pouvez-vous m’aider svp ?
👉 Répondre à ce message1er août 14:56, par Denis Lapalus
29 juillet 15:15, par parraindoc
25 juillet 22:10, par Caro
26 juillet 07:34, par Cafti
26 juillet 07:34, par Denis Lapalus
Bonjour, merci pour votre message. 150 k€ est une somme importante, pas que pour vous ! En premier lieu, voici comment cela devrait se passer. Votre interlocuteur doit suivre une procédure réglementée afin de vous conseiller. Il faut d’abord définir votre profil d’investisseur : sécuritaire, prudent, équilibré, ou dynamique. En bref, ce profil établi après un questionnaire précis, évalue jusqu’à quel point vous acceptez de prendre des risques de perte en capital pour tenter d’obtenir un rendement plus élevé. Si vous n’acceptez pas de prendre des risques, ce sera un profil sécuritaire ou prudent, et si à l’inverse vous acceptez de prendre de grands risques, votre profil sera "dynamique". C’est après la détermination de ce profil qu’une répartition entre le fonds euros et les unités de compte sera proposé, en accord avec votre profil d’investisseur. Sécuritaire => 100% en fonds euros, Prudent => 80%, etc. Pour un profil équilibre, 60% en fonds euros et 40% en unités de compte à risque de perte en capital est déjà bien.
Le fonds en euros est le seul placement permettant de bénéficier d’une garantie sur le capital placé (ie, l’épargnant est certain de ne pas perdre d’argent sur ce placement, le revers de la médaille étant que le rendement est relativement faible, autour de 3.5% pour les meilleurs fonds euros du marché, sans bonus ou autre artifice marketing). Sur les unités de compte, plus le risque de perte en capital pris est important et plus le rendement peut être potentiellement important, mais rien n’est garanti, ni le capital placé, ni le rendement potentiel. C’est donc un véritable jackpot pour l’assureur, puisque des frais sont prélevés alors qu’il n’existe aucune "assurance" sur les unités de compte...
Concernant les contrats proposés, sachez que vous ne devez surtout rien décider le jour même, prenez le temps de la réflexion, et également le temps de comparer, aucune urgence. Votre conseiller sera tenté de vous faire miroiter des placements juteux, mais effectivement truffés de frais à tous les niveaux.
Mes conseils :
opter impérativement pour un ou plusieurs contrat(s) sans frais sur les versements,
respecter son profil d’investisseur : j’ai un profil sécuritaire, je place à 100% sur un bon fonds euros, je dormirai bien plus tranquillement quand les marchés financiers chuteront de nouveau,
choisir un contrat permettant l’accès à un fonds en euros performant (ie, au moins 3% servi en 2024, bien que les performances passées ne préjugent en rien de celles à venir, pour les fonds en euros, cela aide bien quand même...). Au besoin souscrire 2 contrats, 1 dédié à 100% à un fonds euros performant (Exemple : Swisslife EURO+ (rendement de 3.6% en 2024)) et 1 autre pour des unités de compte (Exemple : Lucya by Axa ou Linxea Spirit 2).
investir sur des unités de compte (ETF ou autre) dont on comprend le fonctionnement (sur les actions, sur les matières premières, sur les indices boursiers, etc.), prendre garde aux produits structurés souvent complexes et truffés de frais,
opter pour un contrat dans les frais de gestion annuels sur les unités de comptes ne sont pas prohibitifs (au-delà de 0.8% passer son chemin, le standard actuel étant de 0.5% pour les meilleurs contrats).
Enfin sachez que les contrats distribués par les banques sont les plus mauvais du marché (les plus chargés en frais et les moins rentables, et je ne suis pas le seul à le dire, les associations de consommateurs l’ont déjà vérifié à plusieurs reprises (CLCV, Que Choisir, etc.)). La raison en est simple, les banquiers bénéficient de la facilité d’approche de leurs clients bancaires et peuvent ainsi effectuer des ventes annexes (cross-sell) facilement. Les contrats les plus performants sont ceux des mutuelles d’épargne (Carac, MIF, Asac-Fapès, etc.). Pour des contrats attractifs, avec des frais au plus bas du marché, vous pouvez également consulter les offres des courtiers en ligne (Lucya, Linxea, Placement-direct, Yomoni, Meilleurtaux placement, etc.). Dans tous les cas, vous recevrez le même conseil (réglementaire), via téléphone le plus souvent, mais pour ces contrats, en ligne, il faut être à l’aise avec l’utilisation d’Internet.
Bien à vous
23 juillet 17:21, par Bigsis
Mon mari a décédé le 15.3.2025. On est tous les deux retraités bénéficiant de l’abattement pour personne agée. J’aimerais savoir pour les deux déclarations 2026 sur les revenus de 2025, comment l’abattement pour personne agée sera appliqué ainsi que le nouveau forfait de 2000 euros chacun sur les deux déclarations.
Merci d’avance.
👉 Répondre à ce message26 juillet 08:58, par Cafti
« En cas de décès en cours d’année de l’un des conjoints soumis à imposition commune, le conjoint survivant peut, s’il remplit les conditions, bénéficier de l’abattement pour l’imposition établie à son nom, de la date du décès de son conjoint jusqu’au 31 décembre, même si cet avantage a déjà été appliqué pour l’imposition commune du ménage. »
Date de début de publication du BOI : 14/04/2025
Identifiant juridique : BOI-IR-BASE-40
Vous pouvez avoir un réponse plus précise en posant la question dans votre espace contribuable,si vous déclarez bien vos revenus par Internet.
👉 Répondre à ce message19 juillet 23:31, par vazaha
22 juillet 12:46, par Denis Lapalus
18 juillet 13:41, par Vincent handicap
Bonjour,
J’ai souscris assurance vie il y a 15 ans.
Je souhaite rachat partiellement de l’assurance vie comme chaque année.
Je suis handicapé auditif.
Est ce que j’ai le droit exonération fiscal sur Csg par contre obligé de déclarer 12,5 % sur les impôts sur le revenu ? Y a il limite exonération fiscal Csg ?
Merci de votre aide.
Vincent
👉 Répondre à ce message16 juillet 23:30, par Lili3
Bonjour à tous,
Je me permets de poster ce message car je cherche à entrer en contact avec d’autres investisseurs ayant souscrit une SCPI du groupe Primonial (par exemple Primopierre) via la banque Arkea ou ses partenaires.
Je pense avoir été très très mal conseillée, je perds énormément d’argent du fait de la baisse de la valeur des parts, de rendements en forte baisse, d’un endettement mal calibré, absence d’informations claires sur les risques réels au moment de la souscription…
Face à cette situation, j’ai lancé un groupe facebook qui s’appelle Collectif Primonial Arkea.
J’aimerais savoir si d’autres personnes sont dans ce cas et souhaiteraient échanger sur ce sujet.
Si vous êtes concerné(e), ou si vous connaissez quelqu’un qui pourrait l’être, vou
s êtes le/la bienvenu(e).Cordialement !
👉 Répondre à ce message17 juillet 05:40, par Cafti
J’avais très peu de Primopierre, sous forme d’UC en assurance-vie, permettant ainsi d’accéder au fonds en euros dopé Suravenir Opportunités. Le souvenir que j’en ai est qu’au contraire il fallait joindre un document indiquant qu’on avait compris la particularité et le risque de cet investissement. De plus cela ne devait pas dépasser 50 % de l’en cours.
« endettement mal calibré », si cela signifie que vous avez emprunté pour acheter ces parts de SCPI, vous avez découvert que l’effet de levier permet de maximiser aussi bien les pertes que les profits. C’est ce qui est arrivé aux SCPI, de Primonial par exemple, qui ont acheté un peu de tout quand les taux étaient bas, mais qui n’ont rien pu louer quand le covid est passé par là, ni après avec l’utilisation accrue du télétravail.
Je suis curieux de savoir qui vous a « mal conseillée », et comment cela s’est passé. À défaut de vous aider cela aidera d’autres investisseurs passant sur FranceTransactions.
17 juillet 17:55, par Lili3
Le seul document que j’ai rempli concerne l’établissement de mon profil investisseur. Ce document relève de la loi : n’importe quel investisseur qui contracte avec un CGP doit obligatoirement remplir ce profilage. Cela n’a rien à voir avec des précautions prises par Primonial. L’effet de levier ne correspond pas à un investisseur au profil modéré voire équilibré. L’effet de levier correspond à un profil investisseur averti ce que je ne suis pas. Et j’ai surtout découvert qu’ "effet de levier" n’est en réalité qu’un verbiage pour encourager les particuliers à faire des prêts élevés, pour pouvoir rémunérer toutes les parties prenantes du contrats notamment via les intérêts. Plus le prêt est élevé, plus la rémunération l’est également.
Je ne vais pas donné le nom du conseiller qui a mal fait son travail pour ne pas le pourrir sur internet et des procédures légales sont en cours. En revanche, j’encourage tous les particuliers à plonger dans les montages financiers avant de signer quoique ce soit et également à regarder précisément si la gestion de la SCPI est correctement menée ou non. J’ai découvert que la moitié des documents légaux qu’il aurait dû signer ou me faire signer n’existent pas. De même que la banque n’a pas respecté son devoir de vigilance. Bref, c’est vraiment une grosse arnaque et j’ai l’impression que la majorité des personnes disent Amen.
👉 Répondre à ce message10 juillet 16:58, par poppy
10 juillet 17:03, par Denis Lapalus
7 juillet 13:02, par rohirim
7 juillet 13:46, par Boutitou57
Les "Modalités d’attribution des bourses d’enseignement supérieur sur critères sociaux", sont inscrites sur la circulaire du 24-3-2022 au Journal Officiel : ESRS2209377C
Voir sur le lien ci-dessous :
[URL éditée par le modérateur]
Je n’ai trouvé aucune mise à jour depuis mars 2022, donc rien n’a théoriquement changé depuis l’an dernier !
Le seul problème pourrait être que votre ex-femme ait elle aussi la lettre "T" sur sa déclaration
1.1.1. Parent isolé
Si, sur la déclaration fiscale du parent de l’étudiant, figure la lettre « T » correspondant à la situation de parent isolé (définie au dernier alinéa de l’article L. 262-9 du Code de l’action sociale et des familles), les revenus du seul parent concerné sont pris en compte, sauf dans le cas où la lettre « T » figure sur la déclaration fiscale des deux parents de l’étudiant.
Il en est de même si le parent qui a la charge de l’étudiant peut justifier être bénéficiaire de l’allocation de soutien familial ou du revenu de solidarité active majoré au titre de la situation de parent isolé.
En espérant avoir apporté quelques infos
Bon courage
👉 Répondre à ce message7 juillet 15:38, par MAG
7 juillet 16:19, par Cafti
7 juillet 16:28, par Boutitou57
9 juillet 00:45, par Cafti
Soyons précis, aucune nouvelle loi n’est passée, c’est juste une circulaire du 28/3/2025 qui rappelle que le ministre chargé de l’enseignement supérieur est compétent pour définir les critères d’attribution et qui sur le modèle de l’avantage procuré par la case T est divisé par 2 en cas de garde alternée, précise qu’il est logique que les revenus des deux foyers de garde alternée soient pris en compte. On peut supposer que les deux foyers participent aux frais de scolarité.
Soyons précis (bis), ce ne sont pas les enfants qui font les frais de cette explication de texte d’une loi, mais les parents. Ce sont les parents qui voient leur aide diminuer ou disparaître, mais on peut supposer qu’ils ne feront pas de même pour leurs enfants.
Verre à moitié vide / verre à motié plein : les parents concernés peuvent pester contre la circulaire, ou se réjouir (rétrospectivement) d’avoir bénéficier d’une aide indue. Indue, non pas comme reproche ou jugement moral, mais en regard de l’esprit de la loi.
5 juillet 16:02, par Un client de Rentabilis
4 juillet 23:36, par Fred44
28 juin 01:38, par Brûlé Parlesillus
6+7=13
Les oiseaux = Les voleurs
Le soleil = le seul œil
Mais ne cherchez pas à comprendre tout va bien
👉 Répondre à ce message16 juin 16:28, par nisa
16 juin 17:11, par Cafti
13 juin 22:20, par Couirec
Retour sur un investissement.
Il y a 20 ans (janvier 2005), j’ai été démarché pour un placement sous forme de tontine.
J’ai donc récemment pu toucher les « bénéfices » de cette opération qui c’est terminée en janvier 2025.
Voilà les chiffres :
placement de 150,00€ / mois pendant 20 ans = 36 000,00
plus assurance décès : 7,50€ / mois = 1 800,00
Cout réel total : = 37 800,00
réalisation brute après 20ans : = 46 391,52
réalisation nette après prélèvements sociaux : = 44 373,40
bénéfice net (réalisation nette moins investissement global) = 6 573,40 €
Moins bien que le livret A !
mensonge et opacité sont les caractéristiques de cette société qui elle, c’est sûr, gagne plus que l’épargnant.
Chacun pourra se faire son opinion…
15 juin 18:10, par Picsou
Merci pour votre témoignage.
Je crois comprendre que votre période d’investissement a été particulièrement malchanceuse : vous avez investi 3 ans avant la crise de 2008 alors que les investissements les plus dynamiques au sein des tontines sont faits en début de période et vous avez débouclé en 2025 après une longue période de baisse des taux d’intérêts jusqu’à des taux négatifs post covid alors que les investissements sur produits de taux sont l’essentiel des tontines sur la fin de celles-ci, afin de garantir leur capital sur leurs dernières années.
Cependant, je trouve comme vous que ça n’excuse pas une aussi piètre performance ... que j’ai fait calculer par ChatGPT en lui demandant d’intégrer la durée de placement différente pour chaque placement mensuel de 157.5 € (150 € + 7,50 €) constituant le total de 240 placements mensuels, ainsi que les intérêts composés.
Pour déterminer la rentabilité annuelle moyenne (taux de rendement annuel moyen composé ou Taux Interne de Rendement annuel, appelé aussi TIR ou TRI annuel) d’un placement mensuel régulier, il faut résoudre une équation prenant en compte les intérêts composés et le temps de placement dégressif de chaque versement.
Données :
Versement mensuel : 157,5 €
Durée : 20 ans = 240 mois
Gain net à l’échéance (en plus du capital) : 6 573,40 €
Capital investi : 157,5 € × 240 mois = 37 800 €
Valeur finale totale : 37 800 € + 6 573,40 € = 44 373,40 €
On cherche le taux annuel équivalent qui permettrait, en plaçant chaque mensualité de 157,5 € pendant sa durée respective (plus longue au début, plus courte à la fin), d’obtenir 44 373,40 € au bout de 20 ans.
Méthode :
On cherche le taux d’intérêt mensuel r qui satisfait l’équation suivante :
∑k=1240157.5×(1+r)240−k=44 373.40
k=1∑240157.5×(1+r)240−k=44373.40
Puis on convertira ce taux mensuel r en taux annuel composé :
Taux annuel=(1+r)12−1
Taux annuel=(1+r)12−1
Calculons cela :
Le placement mensuel de 157,5 € sur 20 ans, générant un gain net de 6 573,40 € (pour un total de 44 373,40 €), correspond à une rentabilité moyenne composée annuelle d’environ 1,58 %.
Autrement dit :
Le taux mensuel moyen est d’environ 0,1308 %
Ce qui donne un taux annuel composé de 1,58 %
Ce 1,58 % annuel composé signifie que si chaque mensualité de 157,5 € avait été investie séparément à un taux annuel de 1,58 %, pendant le nombre d’années correspondant à sa durée réelle de placement (de 20 ans pour la première à 1/12 an pour la dernière), alors la valeur finale totale aurait été exactement 44 373,40 € comme dans le cas de votre tontine.
👉 Répondre à ce message10 juillet 19:17, par Clem
11 juillet 08:02, par Denis Lapalus
13 juin 13:48, par jjcol
11 juin 16:27, par jmp
11 juin 17:51, par Cafti
9 juin 02:35, par Néo83
6 juin 14:47, par Néo83
31 mai 17:32, par Ppoussinet
2 juin 12:03, par Denis Lapalus
25 mai 18:44, par Auzillon
26 mai 08:17, par Denis Lapalus
24 mai 12:18, par Flo Flo
20 mai 08:27, par Gaby
20 mai 09:17, par Denis Lapalus
20 mai 09:43, par Gaby
20 mai 09:58, par Denis Lapalus
20 mai 10:06, par Gaby
18 mai 17:11, par rcsgnl
19 mai 06:10, par Cafti
19 mai 14:07, par rcsgnl
19 mai 22:05, par Cafti
25 mai 22:44, par Adam
26 mai 08:13, par Denis Lapalus
27 mai 07:41, par Cafti
19 mai 14:38, par Olivier
21 mai 20:23, par Cafti
Il y a une confusion totale, puisque la question initiale avançait des arguments de moralité (c’est terrible ma brave dame comme un étudiante méritante coûte cher et pourtant pas de superflu, elle se tient bien) mais ne supporte pas qu’on lui fasse une réponse technique : c’est 6794 € par an mais seulement pour les mois où le pensionné n’a pas de revenu suffisant pour être autonome, parce que l’exonération fiscale sera supportée, financée, par les autres contribuables, d’où un plafond qui n’a aucun rapport avec les frais réels.
Confusion aussi car l’article traite de "Pension alimentaire versée à un enfant" ; la "pension étudiante", n’est qu’un cas particulier où il faut choisir entre 1/2 part supplémentaire et pension plafonnée.
Dans le cas général cette pension déductible peut aussi être versée à un enfant non étudiant mais sans revenu. Là aussi le plafond annuel est à 6794 € mais il est diminué en proportion du nombre de mois où l’enfant avait un revenu suffisant.
On peut comparer avec les pensions aux ascendants : des tas de gens se retrouvent - forcés - de devoir payer l’hébergement d’un parent. Là encore le plafond d’exonération est à 6794 €, pourtant il existe peu d’EHPAD à 500 € par mois… même « sans superflu ».
« Il faut qu’il soit étudiant et dans les conditions dictées par les impôts. » est une assertion doublement fausse. Le statut d’étudiant n’est obligatoire que pour choisir de conserver la 1/2 part supplémentaire dans le QF (plutôt que la pension) et pour permettre l’exonération fiscale des revenus d’un "job" étudiant. C’est à dire qu’on n’est pas du tout dans le cas d’une pension alimentaire.
Par ailleurs, à part le plafond d’exonération, les impôts ne dictent rien. Il me semble que si vos relevés bancaires font apparaître un virement mensuel de 516,66 € à destination d’un compte de votre enfant et que celui-ci déclare 6794 € de pension dans ses revenus, cela suffit comme justificatif. Inutile pour vous ou votre enfant de présenter des tickets de caisse ou des factures prouvant que vous avez évité le « superflu ».
Et les impôts ne disent pas que c’est mal de financer une scolarité à 11 000 € pour votre enfant, ils vous informent seulement que les autres contribuables n’y participeront que pour 2000 € (dans l’hypothèse ou votre TMI serait de 30 %).
11 mai 11:31, par bea
12 mai 06:55, par Denis Lapalus
24 mai 16:20, par Caro
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💬 21 mars 11:54, par Francelle
💬 16 novembre 2024 17:31, par écureuil1960
💬 17 novembre 2024 14:34, par Denis Lapalus
💬 17 novembre 2024 18:54, par écureuil1960
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