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Concernant le déficit public tricolore, les années se suivent et se ressemblent. Le déficit dépasse désormais les 3.345 milliards d’euros, un coût proche des 70 milliards d’euros par an.
Ne pas dramatiser !
Est-ce grave ? Certains citent l’exemple des USA, dont le déficit est bien plus élevé. Ces "experts" oublient une chose primordiale, les USA peuvent émettre autant de dollars qu’ils le souhaitent. La France ne peut pas émettre autant d’euros qu’elle le souhaiterait. Il ne faut pas dramatiser.
Appartenance à la zone euro
Les investisseurs étrangers, détenteurs à hauteur de 50% de la dette française, ne réagissent pas mal face à l’explosion du risque français. Les taux de marché ne s’envolent pas, pour le moment. Cela est du à l’appartenance à la zone Euro. L’épargne des Français est au plus haut, alors que le pays figure parmi les plus endettés de la zone euro. Une situation unique en son genre, en partie due à deux produits spécifiques : l’épargne réglementée et son livret A, et l’Assurance-Vie.
Dette de la France au 30 juin 2025
Dette de la France
Dette totale au 30 juin 2025
Variation vs Trimestre précédent
Montant total (en milliards d’euros)
3416.30 M€
+2,11 %
Montant en % du PIB (%)
115.60 %
+1,40 %
(Source des chiffres de base INSEE, données calculées FranceTransactions.com)
Répartition de la dette de la France au 30 juin 2025
Secteurs
Montant en milliards €
Part de la dette du secteur en % de la dette totale
État
2690.50 M€
78,75 %
Organismes divers d’administration centrale
69.40 M€
2,03 %
Administrations publiques locales
252.20 M€
7,38 %
Administrations de sécurité sociale
290.80 M€
8,51 %
TOTAL
3416.30 M€
100%
Coût annuel de la dette de la France
Montant total (en milliards d’euros)
3416.30 Milliards d’€
Taux moyen d’emprunt de la dette de la France (en %)
3.35 %
TOTAL COÛT ANNUEL DE LA DETTE (*)
114,45 Milliards d’€
((*) Estimation FranceTransactions.com basée sur le montant total de la dette publiée par l’INSEE et le taux moyen historique des emprunts français).
Le coût de la dette
Le taux réel de la dette française augmente fortement, avec la baisse de l’inflation. En effet, proche des 3.5% à 10 ans (cf taux oat), avec une inflation à 1% également, le coût réel de la dette augmente. C’est toute la différence entre la théorie et la pratique. Car les intérêts sont bien payés, pas moins de 60 milliards d’euros par an. Par ailleurs, si l’inflation vient à baisser comme souhaitée, l’effet ciseaux serait bien présent, puisque les obligations émises cette année seront à servir pendant les prochaines années. Le souci se créé aujourd’hui, pour se montrer insupportable dans les années à venir.
France : déficit et pas de croissance !
L’Espagne voit ses déficits augmenter mais la croissance économique est au rendez-vous, l’Allemagne n’a pas de déficit, mais pas de croissance. La France réussi l’exploit d’avoir un déficit grandissant et une croissance faible. Ce n’est pas pour faire du France bashing gratuit, c’est juste un constat. Alors quelles sont les options ?
Deux options : augmenter les recettes, réduire les dépenses
1️⃣ Réduire les dépenses : Commençons par l’infaisable : réduire les dépenses. Les gouvernements se succèdent et les résultats restent identiques. Les dépenses seront réduites de près de 10 milliards d’euros, une goutte d’eau. L’objectif d’atteindre les 3% du PIB de déficit par an reste un objectif pour le gouvernement. La France détient le triste record de la dépense publique. Alors que les services de l’Etat montre ses failles, dans son système éducatif, tout comme pour les hôpitaux... L’essentiel des frais étant dans les ressources humaines de gestion des services publics.
2️⃣ Augmenter les recettes : le concours Lépine des recettes fiscales a repris, et tout le monde propose sa petite idée. L’année blanche, la taxation accrue portant sur les plus riches... Bref, toutes ces mesures prévues par la loi de finances 2026. Autant d’idées toutes aussi improbables les unes que les autres. La plus simple sera une hausse des impôts, dès 2026, après la dégradation du rating de la dette française. La justification sera le paiement des intérêts de la dette, car même avec une baisse sensible des taux d’intérêts, le coût de la dette ne fera que grimper.
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Votre arrogance concernant les " experts" frôle le mépris ! !.....un comble pour un site censé éduquer économiquement les francais !.....vous sortez sans doute du même moule que macron pour qui les francais sont " ceux qui ne sont rien "....passons.
Vous avez raison cependant sur un point : effectivement, l'appartenance à l'UE nous empêche, à l' instar des usa, d' émettre de la monnaie et la leçon est donc simple : FREXIT !.....nous retrouverons alors ce pouvoir .
sarko a réussi en quelques coups de fil en 2008 à débloquer 1600Mds d’€ PUBLICS pour sauver les banques.
Quand c’est nécessaire, les banques ne pourraient-elles pas réciproquement sauver l'État ?... 😉
Pour notre plus grand Bien à tous, ce n’est pas, à l’instar de Reykjavik dont on ne parle peu, renflouer les banques que l'État aurait dû faire, mais les racheter ! Car c’est l’inverse qui se produit aujourd’hui, sauf que les grands groupes financiers,eux, font tout d’suite moins dans l’social...
… car la France est un des quartiers généraux du triple, dont le dessein n'est en aucun cas de faire de la France une Lybie sous Kadhafi, de ce monde un paradis, de cette planète un lieu de Paix.
À tort ou à raison, les investisseurs craignent que les banques centrales ne puissent plus vraiment contrôler la remontée des taux d’intérêts, d’ores et déjà débutée. L’inflation fera son retour avec (...)
Un rachat de crédits se traduit par une baisse des mensualités. Le budget mensuel ainsi libéré a des répercussions positives sur les comptes des ménages.