

Dispositif Pinel : ces petits pièges que l’on découvre toujours trop tard.
Pinel : petits pièges à éviter
C’est fait, vous avez investi dans un bien immobilier neuf. Bravo ! Vous avez sans doute déjà évité quelques pièges, mais restez sur vos gardes, car rien n’est encore terminé. Détails de ces petits riens qui peuvent faire toute la différence.Vous répondez à ce message
Il est curieux ce message, car un bon investissement ne dépend pas de la ville, enfin, en tout cas, pas en premier lieu, mais plutôt du prix, du quartier, de l’environnement de l’immeuble (par exemple, le quartier du Zénith - Cartoucherie à Toulouse est labellisé "écoquartier" et c’est juste une blague tellement c’est le royaume du béton, avec des vis-à-vis de tous les côtés, mais des exemples, j’en ai plein), mais aussi, et c’est essentiel, du type de copropriété , je m’explique : voyez-vous une différence entre un immeuble de 80 logements qui ressemble à un bloc et occupé principalement par des locataires, par rapport à un immeuble un peu joli, d’une trentaine de logements (27 exactement), avec un T2, deux T3, un T4 et un T5 vendus à des primo-accédants, mais surtout, sur les 27 logements, uniquement 4 T2, 11 T3, 9 T4 et 3 T5... et avec une fiscalité avantageuse (les 29% du Pinel Outre-mer au lieu des 18 % du métropole) ? Vous vous demandez d’où je sors une telle info et si ça n’est pas une blague ? Je le sais car j’en ai vendu 2 à des clients (un T2 et un T3) et c’est à la Réunion (un petit peu mon "terrain de jeu" depuis pas mal d’année).