
Une baisse de la consommation d’énergie implique-t-elle une baisse de la croissance économique voire même une récession ? Ainsi, une baisse de la consommation d’énergie de 10% entrainerait une baisse du PIB de seulement 1%. C’est ce qu’on appelle le théorème du Cost-Share. Mais d’où vient ce raisonnement qui dit que le prix de l’énergie correspond à sa contribution à la formation du PIB ?
C’est aujourd’hui, le mardi 22 janvier 2019 qu’ouvre officiellement le site Internet du Grand Débat. Cette idée lancée de consultation nationale n’est pas nouvelle, mais est mise en place pour la première fois par Emmanuel Macron, à la suite du mouvement social des Gilets Jaunes en fin d’année 2018. Les Français peuvent s’exprimer sur 4 thématiques.
Lors de la rencontre avec Emmanuel Macron ce mardi 11 décembre 2018, les représentants des banques se sont engagés à ne pas revoir leurs tarif à la hausse pour 2019. Ainsi, les tarifs bancaires seront gelés pour l’année 2019, aucune hausse ne sera donc appliquée. Par ailleurs, les frais bancaires (incidents bancaires et agios notamment) seront plafonnés à 25€ maximum pour 3,6 millions de Français, les plus en difficulté.
Alors qu’un certain nombre de signaux laissent envisager une bonne tenue des marchés en 2019, la fragmentation de l’économie mondiale sera le thème dominant de l’année à venir.
C’est bien sans la moindre surprise que la France apparaît, encore une nouvelle fois cette année, comme la championne d’Europe pour les impôts et cotisations sociales cumulés. Les recettes fiscales, englobant impôts et cotisations, représentaient en France 48,4 % du PIB en 2017, soit le ratio le plus élevé de l’Union européenne. La moyenne en Europe est de 40,2 %.
Economiste, vice-président de l’Autorité de la Concurrence, professeur à SKEMA Business School, l’auteur du célèbre Précis d’Economie livre dans ce nouvel ouvrage ce qu’il observe de l’actualité économique, en toute liberté et avec humour. Dans le livre, les chroniques sont classées en 10 thèmes parmi lesquels : « Et si l’on faisait un peu moins de politique et... un peu plus d’économie », « low-cost, numérique : les nouveaux business models sont là », « la France a tout pour réussir : miser sur nos excellences », « outsiders contre insiders dans le marché du travail ».
Alors que l’inflation fait son retour, les taux courts se redressent lentement, mais surement. De leur côté les taux longs devraient remonter plus rapidement, mais pour l’instant, rien ne bouge vraiment. Limite inquiétant. Les professionnels constatent une chute des investissements immobiliers en France. Un retournement de marché à venir ? Rien de grave avant l’été 2019 nous dit-on...
Le surendettement des États en cause. Les pays émergents sont les premiers concernés par la spéculation financière sur l’état de leurs dettes. Le FMI a lancé de multiples signaux d’alarme au fil de ces derniers mois mais rien n’y fait. C’est au pied du mur que l’on voit mieux le mur.
Vous préférez l’heure d’été ou l’heure d’hiver ? La Commission Européenne a lancé une consultation auprès des Européens, vous pouvez répondre jusqu’au 16 août 2018. L’idée serait de supprimer ce changement d’heure obligatoire au niveau de l’Union Européenne, mais chaque pays pourrait alors décider... Les économies réalisées par ce changement d’heure restent très limitées.
La finance utile, c’est-à-dire les investissements conciliant performance financière et impacts positifs sur la société ou l’environnement, reste mal connue des Français, qui sont toutefois une majorité à trouver le thème porteur, selon un sondage publié mardi.
Sans véritable surprise, après la hausse des prélèvements opérés en début d’année, les Français estiment que leur situation financière s’est détériorée, selon l’enquête mensuelle portant sur le moral des ménages effectuée par l’INSEE.
Première depuis 6 ans, le niveau de la croissance française est revue à la hausse, à 1.90%. L’Insee a revu mardi à la hausse sa prévision de croissance à 1,9 % cette année et l’économie française devrait garder ce rythme début 2018.
Cela fait trop longtemps que le petit monde de la finance mondiale marche sur la tête : taux d’intérêts négatifs ou nuls en Europe et en Asie, avalanches de records des indices boursiers, absence inexpliquée du retour d’une inflation conséquente en pleine reprise économique, etc. La prochaine crise financière couve. Cette attente n’est pas issue d’un groupe complotisme pessimiste 365 jours par an, mais c’est juste l’avis du Fonds Monétaire International (FMI) !
En France, cette journée n’a que peu d’échos. Datant des années 1920, lancée par les caisses d’épargne d’une trentaine de pays, les Européens ne sont plus vraiment sensibles à cette journée. En Afrique par contre, cette journée a plus d’impacts... L’épargne au sens premier du terme, préserver et mettre de côté.
Le programme d’éducation financière de la FBF, les clés de la banque, transmet aux jeunes, dans son mini-guide : Mon argent ? Je gère, des conseils simples pour apprendre à gérer son argent tout en faisant des choix éclairés.
La vigueur de la reprise économique, qui est synchrone dans les pays développés et concerne l’ensemble des secteurs d’activité, incite l’équipe de Groupama Asset Management à réviser ses perspectives pour les marchés obligataires et les marchés actions.
La bonne surprise de cette fin de semaine a été l’accord trouvé entre en la Grèce et ses principaux créanciers de la zone euro afin de prolonger l’aide de quatre mois.
Le gouvernement français a présenté mercredi son projet de budget pour 2015, tout est décalé de 2 années par rapport au plan de marche de l’année passée. Le déficit continue d’augmenter. Crise plus forte que prévue oblige... Mais Bruxelles pourrait bien retoquer le budget français, jugé trop optimiste, sur le retour à meilleure fortune sans réforme majeure.
L’INSEE a publié ce matin son étude sur le niveau de vie des Français. En 2012, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s’élève à 19 740 euros annuels ; il baisse de 1,0 % en euros constants par rapport à 2011.
Le couple exécutif Hollande/Valls s’attire lundi les foudres des éditorialistes pour son obstination à poursuivre dans la même voie alors que la situation économique et la confiance populaire sombrent : si la croissance de la France est nulle, ses dirigeants aussi, ironisent-ils.