14 novembre 2019
Les services fiscaux, dans le cadre d’une expérimentation de 3 années, prévue par le gouvernement, pourront collecter des informations diffusées sur les réseaux sociaux afin de rassembler des éléments indiquant une potentielle fraude fiscale.
20 juin 2019
Les fintech ont levé 354 millions d’euros en France sur le premier semestre, soit quasiment autant que sur l’ensemble de l’année 2018, selon un rapport KPMG publié cette semaine. Promises à un futur radieux, ces entreprises ont levé, en tout, depuis 10 ans, près de 1,5 milliard d’euros. Parmi elles se trouvent les futurs licornes françaises... Du moins, beaucoup l’espèrent.
10 juin 2019
Attention les yeux ! Le site Leboncoin met de l’intelligence artificielle dans ses services, le site le plus populaire de France change donc de dimension. Avec plus de services, plus de sources de revenus pour la plateforme, leboncoin entend bien continuer d’exploser tous les compteurs. Un succès incroyable.
Banques : intelligence artificielle, robots, la technologie ne remplacera jamais totalement l’humain
7 mai 2019
Au-delà du marketing actuel entourant l’intelligence artificielle, la technologie est un apport sans conteste. Mais loin des fantasmes populaires, les robots ne remplaceront pas les êtres humains pour toutes les activités de service. ING, la banque en ligne pionnière de l’épargne en ligne en France en est également convaincue. L’humain ne doit pas disparaître derrière la technologie.
9 avril 2019
La 8e édition des « Banking Trends » réalisée par Deloitte dépeint un secteur bancaire fragilisé sous l’effet conjugué de taux bas, de coût d’investissements et d’exploitation toujours élevés, ainsi que d’une pression réglementaire accrue. Ainsi, les acteurs traditionnels continuent à transformer leur modèle opérationnel, tandis que les nouveaux entrants peinent à émerger.
28 novembre 2018
Robo-advisor, allocations dynamiques d’actifs, gestion des risques adaptés en fonction du profil de l’investisseur, FinTech, Intelligence Aritficielle... Grâce aux compétences de spécialistes en mathématiques financières et à la technologie, la gestion de l’épargne personnelle devient une réalité à la portée de tous les particuliers. Elisabeth Andrey, cofondatrice et membre du Directoire d’Altaprofits,
11 novembre 2018
Difficile de passer à côté de ces termes, fintech, IA, blockchain...Tous les secteurs de la grande consommation jouent avec ces termes pour tenter de doper leurs ventes : des voitures intelligentes, de la domotique intelligente, etc. Le secteur des marchés financiers n’est pas en reste : des robo-advisors intelligents capables de doper vos rendements, ou pas. A se demander si nous sommes encore vraiment intelligents pour avoir besoin de s’entourer d’autant d’intelligence artificielle... Mais en réalité, beaucoup de marketing, pour bien peu de réelle intelligence. Une fois les vapeurs dissipées du marketing entourant les FinTech, l’IA et le BlockChain, que restera-t-il ? La réalité verra de nouveau le jour. Si toutes ces nouvelles tendances seront bien utilisées dans l’industrie financière de demain, leur place estimée devrait se réduire à une portion congrue. Un retour à la réalité s’impose.
8 juin 2018
C’est tendance. Toutes les grandes entreprises tentent de jouer la carte de l’intelligence artificielle. 30 années en arrière, les systèmes experts, à base d’intelligence artificielle, étaient déjà déclinés sous toutes leurs formes. Un échec cuisant. Aujourd’hui, l’IA revient sur le devant de la scène, avec beaucoup de marketing, trop sans doute. De l’intelligence artificielle reposant essentiellement sur la reconnaissance vocale... Loin encore de révolutionner le conseil en gestion de patrimoine, mais elle peut améliorer l’efficacité commerciale. Et qui ne tente rien... SwissLife a choisi de tenter avec AIDA.
8 juin 2018
A défaut d’avoir de l’intelligence tout court, le monde financier semble avoir besoin de renfort d’intelligence artificielle. La fintech DreamQuark répond manifestement aux besoins, dans bien des cas, pour détecter les tentatives de fraudes aux assurances, pour éviter que les clients ne s’enfuient vers un concurrent mieux-disant, ou encore pour surveiller un portefeuille d’actifs dont la gestion semblait faire part d’un peu trop de laisser-aller...