Devenir rentier ? Combien de capital faut-il pour vivre aisément ? Ce simulateur vous permet de constater que le capital optimal n’est pas si élevé que vous pouviez le penser. Encore faut-il avoir un train de vie adapté... Et un patrimoine réparti avec pertinence, il faut impérativement lever le pied sur l’immobilier pour pouvoir espérer vivre sereinement de ses rentes, IFI oblige !
Vous rêvez de ne plus travailler et devenir rentier ? Quel capital faut-il au minimum pour pouvoir le devenir ? Combien faut-il détenir en capital financier productif pour percevoir l’équivalent de 2 SMIC nets par mois, à vie ? Tout en préservant son capital, sans souci d’inflation ou de chute des marchés boursiers...
IFI 2018 : Impôt sur la Fortune Immobilière. Le nouvel impôt IFI remplace l’ISF à compter du 1er janvier 2018. Détails et décryptage.
Mise en place de la Flat tax oblige, la fiscalité 2018 des placements est entièrement chamboulée. Les épargnants devront choisir entre l’application du PFU (flat tax) ou l’intégration de leurs produits au barème progressif de l’impôt sur le revenu. L’option étant valable pour l’ensemble des placements du foyer fiscal. Le panachage ne sera pas permis. Synthèse des changements, placement par placement.
Didier Bujon, Directeur général d’Equance, réseau de consultants en gestion privée, partage sa vision sur les placements et solutions patrimoniales à privilégier, à la suite des nouveautés fiscales mises en place au 1er janvier 2018.
Personne n’est dupe. La suppression d’une source importante de financement des communes ne pouvait être effectuée sans contrepartie. Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l’Intérieur, avait évoqué un nouvel impôt plus juste qui devrait le jour, à l’horizon 2020. Mais Bruno Le Maire a coupé court ce matin à toute spéculation : pas de nouvel impôt durant le quinquennat. La taxe foncière a donc de beaux jours devant elle...
Comme chaque année, c’est une fois qu’il est trop tard pour agir sur le montant de son impôt sur le revenu à payer que Bercy met à disposition des contribuables le simulateur officiel de calcul de l’impôt. La raison en est simple, la loi de finances pour l’année n’est promulguée qu’en toute fin d’année précédente.
Comme chaque année, avec toutes les modifications de la loi de finances pour l’année en cours, nous ne connaîtrons avec exactitude le montant de notre impôt sur le revenu qu’au mois de janvier 2018, lorsqu’il sera trop tard pour agir. Mais peu ou proue, nous savons bien que le montant de notre impôt à payer ne sera pas radicalement bouleversé. Il est encore temps d’agir, en faisant appel aux différentes pistes proposées pour réduire le montant de notre facture fiscale à payer en 2018. Année qui sera blanche fiscalement pour les revenus du travail perçus en 2018, enfin une bonne nouvelle !
La ministre du Travail, Muriel Pénicaud qui va bénéficier de la suppression de l’ISF, a affirmé jeudi sur France Inter qu’elle allait investir cet argent dans un fonds qui soutient l’économie sociale et solidaire.
Après une année 2017 record pour le marché de l’immobilier, aussi bien en termes de volume de transactions, que de prix pratiqués, 2018 s’annonce être une année de changement : baisse de la taxe d’habitation, nouveaux diagnostics à fournir au 1er janvier 2018, mise en place de l’IFI, prêt à taux zéro, changement d’assurance emprunteur, PTZ, Pinel, ...
La Loi de Finances pour 2018 est validée. La mise en place de l’IFI pose question, sur les investissements immobiliers concernés. Si les doutes ont été levés pour les SCPI et OPCI, soumis à l’IFI, quid du crowdfunding immobilier ? Fait-il partie de l’assiette d’imposition à l’Impôt sur la Fortune Immobilière ?
Le 21 décembre dernier, l’article 972 ter a été modifié, afin d’exclure de l’assiette d’imposition à l’IFI, les foncières cotées (Sociétés d’Investissement Immobiliers cotées). Un soulagement pour les actionnaires qui évitent ainsi de savants calculs pour la détermination de la valeur à prendre en compte.
C’est passé comme une lettre à la poste ! Aussi surprenant que cela puisse paraître, la suppression de la taxe d’habitation pour seulement 80% des Français ne semble pas poser le moindre souci aux sages du Palais Royal. Une attention sera néanmoins portée à la charge financière supportée par ces 20% de contribuables mal lotis... Hallucinant.
Chaque contribuable peut dès aujourd’hui consulter ce simulateur en ligne pour savoir s’il bénéficiera des baisses de la taxe d’habitation et des cotisations sociales qui prendront effet dès 2018, et pour calculer ses gains de pouvoir d’achat.
La loi de finances 2018 est la première du gouvernement Macron, avec principalement 5 mesures majeures : hausse de la CSG, instauration de la flat tax, suppression progressive de la taxe d’habitation, suppression de l’ISF et mise en place de l’IFI.
Les sénateurs LR, majoritaires au Sénat, ont annoncé mercredi qu’ils comptaient supprimer le nouvel impôt sur la fortune immobilière (IFI) et la réforme de la taxe d’habitation, à l’occasion de l’examen des textes budgétaires. Mais comme les Sénateurs n’ont dans les faits qu’un pouvoir consultatif, autant dire que cela ne devrait rien remettre en cause.
Les sondages se multiplient, 6 mois après l’élection à la Présidence de la République d’Emmanuel Macron. Si les Français laissent encore du temps pour constater les effets des premières mesures prises, ils restent divisés sur certaines d’entres elles, tout comme sur le vocabulaire utilisé par le chef de l’Etat.
Politique du logement : le danger de l’arrogance, tribune de Jean-François BUET, Président de la FNAIM. PTZ, Pinel, rénovation énergétique, IFI... Des décisions prises, puis amendées, des modifications de dernières minutes, sans consultation des professionnels du secteur. Des signes d’une réflexion peu aboutie, faisant apparaître des risques sur ce marché de l’immobilier, attendu en forte baisse de vitesse dans les années à venir. Jean-François BUET, Président de la FNAIM, fait part de sa vision.
39 ! C’est le nombre de Yachts de plus de 30 mètres battant le pavillon français. Les députés En Marche souhaiteraient donc les taxer, à hauteur de 10 millions d’euros pour financer la SNSM. Tout autant que les lingots d’OR et les voitures de luxe, un bon vieux coup de populisme, histoire de couper court à l’image donnée jusqu’à maintenant, favoriser la fiscalité des plus riches... Un brouillage d’image qui aura bien du mal à passer inaperçue.
Eric Woerth, président LR de la commission des Finances à l’Assemblée nationale, a critiqué jeudi un budget 2018 du gouvernement injuste et bourré d’astuces, notamment concernant l’ISF et les charges sur les entreprises.